Mercy Thompson De Patricia Briggs

Pour toutes réponses, je me contentais d'ôter mon tee-shirt et de le laisser tomber au sol....

Avant même que j'ai eu le temps de cligner des yeux, Adam avait quitter le lit et se tenait devant moi, m'enveloppant dans l'édredon de mon lit. Ensuite il me serra très fort contre lui, ma poitrine nue contre son torse, mon visage reposait contre sa joue.

« si j'ai mis cet édredon entre nous c'est parce que je ne voulais pas dire que nous devions coucher ensemble maintenant, un simple oui, aurait suffi » Son cœur battait fort dans sa poitrine

Je savais qu'il me désirait, n'importe qui, même sans un odorat de coyote, l'aurait su. Ma main glissa de ses hanches, jusqu'à son ventre puis jusqu'à sa poitrine où je la laissait reposer sur son cœur qui battait la chamade, un léger voile de sueur, suscité par ma caresse apparut le long de sa mâchoire. Je sentais le feu qui irradiait de sa peau. Je soufflais dans son oreille et il s'écarta rapidemment de moi comme si je l'avais piqué.

Des paillettes ambrées s'allumèrent dans ses yeux et ses lèvres semblaient plus douces, plus rouges aussi... Je laissais tomber l'édredon qui me couvrait...

« Bon sang Mercy ! » il n'aimait pas jurer devant les femmes ! C'était pour moi une victoire personnelle del e pousser à cet extrémité. « Cela ne fait même pas une semaine que tu as été violé, je ne vais pas coucher avec toi, avant que tu es parlé à quelqu'un, un conseiller, un psychologue »

je vais bien » répondis je, consciente pourtant que si je m'étais senti en sécurité près de lui, le poids dans mon estomac était revenu, une fois que nous nous étions séparés.
Adam me tournait le dos

« non, tu ne vas pas bien, rappelle toi, on ne peut pas mentir à un loup, ma chérie » Il lacha un soupir qui ressemblait plus à une manifestation de sa frustration « mais j'oublie à qui je parle, c'est toi, Mercy et essayer de te faire parler de quoi que ce soit de personnel relève du parcours du combattant alors pour que tu en parles à un étranger... »

Je n'avais jamais réfléchi à moi comme quelqu'un qui gardait ses secrets. D'ailleurs, on m'avait même accuser plusieurs d'ouvrir un peu trop souvent, la dite bouche. Samuel avait même ajouté que si je voulais vivre un peu plus longtemps, je devrais apprendre, à me mordre al langue au lieu de parler de temps à autres...

Donc je restais silencieuse et attendait qu'Adam décide ce qu'il voulait faire. Je frissonnais bien que la chambre ne soit pas froide, les nerfs sans doute...Si Adam, ne se dépêchait pas de faire quelque chose, j'allais encore me retrouver pencher à vomir sur les toilettes. J'avais passé tant de temps dernièrement à adorer la déesse de porcelaine que cette idée ne me réjouissait pas particulièrement.

Il ne me regardait mais il n'en avait pas besoin... Les émotions se sentent. Il se retourna soudainement et considéra mon état d'un regard, en fronçant les sourcils. Il me rejoignis et m'enveloppa à nouveau dans ses bras. J'entendais un ronronnement rassurant venir du fond de sa gorge. Je pris une bouffée d'air et tentait de réfléchir. Ce n'était pas quelque chose de difficile pour moi normalement mais normalement je n'étais pas dans les bras du plus sexy des hommes que je connaisse, complètement nue. Je n'avais pas compris ce qu'il voulait... Pour en être sûr, je lui demandais

« Quand tu m'as dit que tu avais besoin de ma réponse , aujourd'hui, tu ne parlais pas de sexe... »

Son corps se tendit alors qu'il se mit à rire, tout en frottant sa mâchoire contre mon visage
Tu penses vraiment que je suis ce genre de personne, surtout après ce qu'il s'est passé la semaine dernière... »

« -je pensais que cela devait se passer comme çà » marmonnais je sentant la honte me monter au visage

« Combien de temps as tu passer avec la meute du marrok ? »

Il le savait très bien. IL voulait juste que je me sente stupide « L'accouplement n'était pas un sujet qu'on abordait avec moi » dis je pour me défendre « Il y avait Samuel...

Son rire redoubla. Une de ses mains était sur mon épaule, l'autre caressait mes fesses...Cela aurait du me chatouillé et pourtant non. « je suis sur , qu'il te disait la vérité, toute la vérité, et rien que la vérité » continua t'il

Je resserrais mon étreinte contre lui, « probablement pas ...donc ce n'est que de mon accord que tu avais besoin ? »

« Cela n'aidera pas forcément avec la meute, pas tant que cela ne serap as pour de vrai. Mais avec Samuel, hors jeu, je pensais que tu pourrais décider si je t'intéressais ou pas... si ce n'était pasl e cas, je pouvais le gérer mais si tu acceptes d'être à moi, je peux attendre que l'enfer gèle...

Ses mots étaient raisonnables mais son odeur racontait une autre histoire. Elle me disait que j'avais apaisé ses inquiétudes et qu'à présent son esprit n'était plus vraiment à notre discussion. C'était juste, être si près de lui, sentir sa chaleur contre moi, sentir son coeur s'emballer parce qu 'il me voulait... Quelqu'un m'avait dit que se sentir désirer par quelqu'un estl e meilleur des aphrodisiaques, c'était certainement vrai pour moi !

« Evidemment, c'est bien plus facile de dire qu on est capable de résister, que de vraiment le faire, Mercy, tu dois me dire d'arrêter là... » dit il d'une étrange voix calme

« -mmmm » il apportait dans ses caresses, le meilleur moyen que j'avais de me retirer Tim de la peau

« Mercy »

Je laissais glisser mes mains jusqu'en haut de son jean et enfonçait doucement mes ongles dans sa peau
Il gronda et approcha ses lèvres des miennes et mordilla ma lèvre supérieure. Tout ceci envoya de plaisantes vibrations à travers mon corps. Alors que je commençais à m'occuper du bouton de son jeans, sa main se posa contre la mienne. Et c'est alors que je l'entendis....

« Voiture allemande » dit-il

« non, suédoise » répondis je « une volvo de 4 ans, grise »

Il me regarda, surpris puis je vis qu'il avait compris « tu connais cette voiture »

je soupirais et gémis et me cachait dans son épaule
« Oh non ! Non, c'était dans tous les journaux !!! »

Qui est ce Mercy »
Le gravier crissa et on vit des feus flashés à travers mes fenêtres alors que la voiture se garait....

- C'est ma mère »

C'est ma mère , son timing est formidable ! J'aurais du penser qu'elle allait voir dans le journal...ce qui m'est arrivé... »
tu ne l'as pas appelé.

Je savais que j'aurais du mais c'était l'une des choses auxquelles je ne pouvais faire face. Il sourit et dit :

« Habille toi. Je vais m'occuper d'elle jusqu'à ce que tu sois prêtes 

c'est impossible que je sois prête à çà un jour ! «  lui repondis-je
Il se rapprocha de moi, posa son front contre le mien
«  çà va aller, Mercy... »

Puis il me laissa, fermant la porte de ma chambre, alors que la sonnette retentissait. Je l'entendis deux fois de plus avant qu'il n'ouvre la porte et ce n'était pas Adam qui était lent. J'attrapais des habit en tentant de me rappeler si je n'avais pas laisser trainer la vaisselle dans l'évier. Si çà avait été le tour de Samuel, je n'aurais pas eu à m'en inquiéter. C'était stupide, je savais qu'elle avait autre chose à penser que la vaisselle mais çà m'empêchait de paniquer.

J'enfilais un pantalon et restait pieds nus tout en cherchant un soutien-gorge

«  Elle sait que vous êtes là, elle sera là dans une minute » entendis je dire Adam de l'autre coté de la porte

Je ne sais qui vous pensez être mais si vous ne vous sortez pas de mon chemin dans l'instant.... » dit ma mère d'une voix grave et menaçante
Adam etait peut être l'Alpha de la meute, il était fort, voir même méchant s'il le devait mais il n'avait aucune chance face à ma mère

« soutif, soutif, soutif » répétais je tout en tirant un du panier de linge sale et en l'enfilant

«  tee-shirt, tee shirt, tee shirt »

« Mercy ! » appela Adam d'un voix suppliante. Comme je connaissais ce sentiment !

«  Maman, laisse le tranquille ! J'arrive ! »

Finalement, je trouvais un tee shirt, qui ne sentait pas trop mauvais et était le plus propre possible malgré la tache d'huile à l'épaule. Je pris une bouffée d'air et ouvrit la porte. Je me baissais pour passer sous le bras d4adam qui était accouder contre la porte.

« Salut m'an, je vouis que tu as rencontré mon …. » Mon quoi, au fait ? Mâle ? Partenaire de lit ? Ma mèren 'avait vraiment pas besoin d'entendre çà ... » je vois que tu as rencontré Adam »
«  Mercedes Athena Thompson  ! Explique moi pourquoi je dois apprendre ce qui t'es arrivés par l'intermédiaire du journal ! »

J'avais éviter son regard jusque là, mais une fois qu'elle avait prononcé les trois parties de mon nom, j'étais perdue.
Ma mère n'est pas bien grande, a juste 17 ans de plus que moi. Ce qui veut dire qu'elle n'a pas atteint 50 ans et en paraît 30. elle est blonde et c'est sa couleur naturelle , j'en suis presque sure. Ses yeux sont bleues et lui font un regard innocent et franc, son nez est légèrement remontée et sa bouche ronde et ferme. Avec les étrangers, elle joue parfois à la jolie blonde idiote qui bat des cils et parle d'une voix fluette à la Marylin Monroe dans « certains l'aiment chaud ». A ma connaissance, ma mère n'a jamais changer, un pneu de sa vie

La colère de sa voix n'était que pour couvrir la blessure dans son regard, ce qui stoppa toute remarque acerbe de ma part.

« - je ne sais pas , Maman. Après tout cela, je suis restée coyote, un moment.. » pendant un instant, j'eu une vision de moi entrain del 'appeler , « au fait Maman , tu sais pas ce qui m'est arrivé aujourd'hui... »

Elle me regarda dans les yeux et vu sans doute plus que ce quej e voulais qu'elle voit. « tu es sure que tu vas bien » me demanda-t'elle

Je commençais par dire oui, mais tout une vie passée avec des créatures qui étaient capables de reconnaître le moindre mensonge, m'avait appris l'honnêteté.
« En partie, oui, cela m'aide beaucoup qu'il soit mort » je sentis ma poitrine se serrer. Je m'apitoierais sur mon sort plus tard.

Ma mère pouvait réconforter ses enfants comme les meilleurs parents savaient le faire mais elle savait aussi l'importance de se débrouiller par soi-même. Elel serrait son poing droit mais quand elle parla à nouveau, sa voix était vive :

(- d'accord ! » finit-elle par dire comme si nous avions répondu à tout ce qu'elle demandait mais je sais bien que le sujet reviendrait sur le tapis plus tard, quand nous serions seules. Elle tourna son regard angélique vers Adam et demanda :
«  Qui êtes vous , et que faites vous chez ma fille, à 11h du soir passé ? »
«  J'ai plus 16 ans ! Retorquais je boudeuse, j'ai même le droit de passer toute la nuit avec un homme, si je le veux ! »

tous les deux m'ignorèrent.
Adam qui était resté, accoudé à la porte de ma chambre, semblait vouloir montrer à ma mère qu'il se sentait comme chez lui, ici et qu'il avait tout autorité à la garder éloignée de ma chambre. Il répondit snas aucun e once de panique, entendue dans sa voix tout à l'heure :
«  Je suis Adam Hauptman, je vis d el'autre coté de la barrière »

L'Alpha ? Le divorcé avec une fille adolescente ? Demanda-telle en fronçant les sourcils

il lui sourit et je su que Maman avait fait sa conquête...Elle est très mignonne quand elle fronce les sourcils et adam, n'est pas habitué à ce qu'on lui fronce les sourcils... J'eus une révélation soudaine ! J'avais fait une erreur tactique, ces dernières années, si j'avais réellement voulu qu'il arrête de flirter avec moi. J'aurais du sourire, faire la moue, battre des paupières.. Apparemment, il adorait qu'on lui tienne tête ! Il etait trop occupé à regarder les sourcils froncés de ma mère pour voir les miens...

«  C'est exact madame ! » il quitta l'encadrement de ma porte pour s'approcher d'elle «  Content de vous connaître enfin Margi, Mercy parle de vous très souvent »

Je ne sais pas ce que Maman aurait répondu à cela mais je doutais que ce fut quelque chose de polis.
Mais quelque chose apparut entre eux deux avec le son d'un oeuf tombant sur le sol, quelques centimètres au dessus du tapis. C'était quelque chose de la taille d'un humain, tout noir , qui puait la charogne, le sang séché et les corps putréfiés...
Je l'observais un long moment, mes yeux ne parvenant pas à associer ce qu'il voyait à ce que mon nez sentait. Ce fut le tee-shirt vert froissé et souillé où je reconnaissais des contours familiers qui me forçà à admettre que cette chose toute racornie était Stefan.

Je m'agenouillais près de lui mais me retint au dernier moment del e toucher, effrayé de l'abimer davantage. Il était mort sans aucun doute, mais comme c'était un vampire, ce n'était un état si désespéré que cela aurait pu être...

«  Stefan ? » appelais je

Je ne fus pas la seule à sursauter lorsqu'il agrippa mon poignet. Sa peau était sèche et crépitait contre la mienne. Stefan était mon ami depuis que j'avais emménagé dans les Tri cities. Il était charmant, drôle et généreux. (là y a une phrase que j'arrive pas à traduire correctement mais qui parle des nombreuses innocentes personnes que Stefan a tué pour sauver Mercy)

Il tenait toujours mon poignet et tout ce que je pouvais faire c'était de ne pas me dégager et cesser de sentir sa peau. Beurk ! beurk ! Beurk ! Et j'avais le sentiment qu'à chaque instant, sap eau allait céder et tomber...

Ses paupières s'entrouvrirent. Leurs iris étaient cramoisi et non brun. Il ouvrit par deux fois la bouche sans pour autant former le moindre son. Puis sa poigne sur moi se fit plus forte et je n'aurais plus pu me dégager même si j'avais voulu. Il avala une bouffée d'air avant dep arler mais ne le fit pas tout de suite et j'entendis l'air s'échapper de sa cage thoracique...

« -Elle sait » Sa voix ne lui ressemblait pas. Elle était rauque et sèche. Alors qu'il approchait ma main de son visage, il dit dans un dernier souffle : « cours! » et avec ces mots, le visage de mon ami disparut derrière le masque d'un vampire affamé

En regardant ses yeux devenus fous, je décidais que son conseil valait le coup d'être suivi, dommage que jen e puisse me libérer pour le suivre ! Il n'était pas rapide mais il m'avait et je n'étais ni un loup garou, ni un vampire avec une force surnaturelle pour me libérer.
J'entendis le son distinctif d'une balle qu'on logeait dans la chambre d'une arme, et un regard m'apprit que ma mère pointait sur Stefan, un glock. Il était rose et noir. Faites confiance à ma mère pour avoir une arme de barbie, plutôt mignon mais létal toutefois.

« -çà va aller...tentais je de la rassurer. Je savais qu'elle n'hésiterais pas à tirer si elle me pensait en danger. D'habitude je ne m'inquiétais pas quand on pointait une arme sur Stefan mais comme il n'étaitp as en très bon état. « il est de notre coté » mais ce n'était pas facile de me montrer convaincante alors qu'il m'attirait vers lui...

Adam attrapa le poignet de Stefan et le retint si bien que doucement la tête du vampire se soulevait du sol. Alors qu'il approchait de mon bras, Stefan découvrit ses canines, elle était bien plus grandes que dans mon souvenir. Au lieu de paniquer, je laisser retomber ma tête contre l'épaule d'Adam. Cela découvrait mon cou mais sentir l'odeur du loup Garou d'Adam m'aidait à supporter ce qui était arrivé à Stefan. Si il avait besoin de sang pour survivre, j'allais le lui donner...

« - C'est bon Adam, tu peux le laisser faire »
« Gardez le en joue » dit Adam à ma mère «  Mercy, si cela ne marchep as, tu appelle la maison et tu dis à Daryl de ramener tous ceux qui s'y trouveront »

Et dans un acte de bravoure qui lui ressemblait tellement , Adam pointa sonpoignet juste devant le visage de Stefan, le vampire semblait ne rien à voir et continuait de se relever en s'aider de l'appui qu'il avait sur mon bras. IL ne respirait pas donc il ne pouvait sentir Adam. J'aurais du stopper Adam, j'avais déjà nourri Stefan sans être malade, et je savais que Stefan n'était pas insembible au fait que je sois vivantep lutôt que morte. Mais je me rappelais que Stefan m'avait dit qu'il n' aurait pas de problème puisque c'était une unique fois. J'avais rencontré ceux qui servait à Stefan de petit déjeuner, déjeuner et dîner et ils lui étaient totalement dévoués. Je l'aime beaucoup ce vampire mais j'avais eu ma dose de magie pour toute une année...

Et tout de façon, n'importe quelle protestation faite à Adam, n'aurait servi à rien. IL etait encore plus protecteur vis à vis de moi maintenant...
Adam pressa son poignet contre la bouche de Stefan. Celui ci parut perdu un instant etp lenta ses dents dans le poignet d'Adam...